Au cours des six premiers mois de cette année, 30.656 Belges ont rejeté une succession gratuitement par l'intermédiaire d'un notaire. Soit 11 % de plus qu'en 2023 à la même période. Les héritiers évitent ainsi de devoir payer les dettes de la personne décédée. Un renonciation est gratuite pour autant que la valeur de l’héritage ne dépasse pas 6.093,20 euros.
Le Belge est un bon vivant. Il profite de la vie sans forcément penser au lendemain. Il n’écoute pas toujours sa petite voix intérieure qui lui dit « on ne sait jamais ». Il est vrai que lorsque tout va bien, on ne ressent pas le besoin de penser aux éventuels aléas de la vie. Pourtant, on a déjà tous été dans une situation où l’on s’est dit que si c’était à refaire, on aurait fait différemment. Pour éviter ces fameux « si j’avais su… », il vaut mieux parfois prendre les devants et demander des conseils en amont. Pour cela, le notaire peut devenir votre allié.
Prenons 5 situations où il est utile d’envisager le pire…
Que ce soit dans le cadre d'une succession ou d'un démembrement de la propriété volontaire (ex : viager ou achat scindé), lorsqu’un bien immobilier est partagé entre un usufruitier et un nu-propriétaire, il est important de savoir qui paie quelles charges et qui prend quelles décisions. Toutes les réponses dans cet article.
Nouvel épisode Notaires&CO !
Environ 1 mariage sur 3 se termine par un divorce... En 2023, cela représentait 20.034 divorces, soit une augmentation de 3,6% par rapport à 2022. Et pour divorcer, il existe deux procédures : le divorce pour désunion irrémédiable et le divorce par consentement mutuel.
Dans cet épisode de podcast, nous plongeons en profondeur dans la procédure à l'amiable, qui permet de réduire les tensions et de simplifier le processus de séparation : le divorce par consentement mutuel. Vous y découvrirez les démarches nécessaires, les implications légales, et le rôle crucial des notaires dans la facilitation de ce processus.
À nos côtés pour en parler : le notaire Jérôme Otte et la juge au tribunal de la famille à Bruxelles, Emilie Cappon.
HISTORIQUE DE L'ÉTUDE
